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To be or not to be… un cosmétique

Aujourd’hui on va parler de ces produits dont on ne sait jamais s’ils sont ou non des cosmétiques.

Par exemple les huiles. Si on prend une bouteille d’huile d’olive destinée à de la cuisine dans une épicerie, il s’agit d’une huile alimentaire. Une autre huile d’olive vendue au rayon « soin du corps » et avec juste une étiquette qui évoque au client de l’appliquer sur la peau sera elle soumise à la réglementation des cosmétiques.

La façon de présenter un produit (l’étiquette, le conditionnement, le nom…) va donc influer grandement sur son statut de cosmétique.

Parmi les exemples qui posent question, on cite souvent les huiles de massage et les boules de bain. Dans les 2 cas, si ces produits sont juste vendus pour rendre le moment plus agréable, ce ne sont pas des cosmétiques. Dès lors qu’on revendique ou laisse entendre un effet sur la peau, ces produits deviennent des cosmétiques qui doivent avoir leur DIP et autres démarches réglementaires.

A l’inverse un produit destiné à soigner ou réparer n’est pas un cosmétique. Le cosmétique entretient la peau. Au-delà, on est sur un médicament soumis à une demande d’autorisation de mise sur le marché (AMM) qui est un processus très long et coûteux.

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